La troisième couche du champ aurique
Elle est associée à notre univers mental ou rationnel. Délicatement structurée, comme le plus fin des voiles, elle comprend des lignes d'énergie d'un jaune citron pâle qui vibrent très rapidement ( son éclat, son ampleur et son énergie s'écoulent le long de traits de lumière verticaux qui correspondent à nos processus mentaux et à nos états d'esprit). Lorsque cette couche est saine et équilibrée, l'harmonie s'établit entre raison et intuition, et nous ressentons clarté et équilibre. La synchronisation des trois premières couches de notre champ nous permet d'éprouver un sentiment d'acceptation de soi, de sécurité, de notre juste place, en possession d'un pouvoir personnel.
À une troisième couche forte et bien chargée correspond un esprit fort et clair entièrement à votre disposition, une vie mentale active et saine et le désir d'apprendre.
Dans le cas contraire, vous manquerez d'agilité et de clarté mentales, et éprouverez sans doute peu d'intérêt pour les travaux et les démarches intellectuelles.
En présence de pensées négatives, les pulsations du champ ralentissent, les lignes s'assombrissent et se déforment. Ces « formes pensées négatives » sont d'autant plus difficiles à changer qu'elles semblent logiques pour celui qui les ressent.
Si vos deux premières couches sont faibles, et la troisième forte et énergique, vous aurez tendance à privilégier la vie de l'esprit au détriment du corps et des sentiments. Vous préférerez résoudre les problèmes par le raisonnement, excluant vos sentiments, ce qui limite d'emblée votre expérience vitale.
Les formes pensées négatives peuvent se trouver bousculées par les émotions stagnantes émanant des deuxième et quatrième couches adjacentes. Autrement dit, en nous efforçant de ne pas ressentir d'émotions négatives envers nous-mêmes (deuxième couche) ou envers autrui (quatrième couche), nous bloquons le flux d'énergie dans ces deux couches, et celui de la troisième couche subit alors le contre coup de cette « pression ».
Pour mieux comprendre ce phénomène, il faut se souvenir que l'état naturel de l'énergie est le mouvement perpétuel. Si on l'interrompt dans les deuxième et quatrième couches pour freiner des émotions négatives, une partie de l'élan est transférée dans la troisième couche, provoquant une activité mentale déformée, puisque incapable de se mouvoir librement, coincée par les énergies qui l'enserrent. Je pense que notre culture encourage le maintien de formes pensées négatives; notre société admet en effet que nous pensions du mal d'autrui mais non que nous l'exprimions directement. Il serait préférable d'aller débusquer les émotions négatives que nous ressentons envers nous-mêmes, et qui conditionnent nos sentiments négatifs envers autrui.