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LE BIO MAGNETISME

 LE BIO MAGNETISME

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C’est en 1960, en voyant un technicien de son équipe opérer à l’aide d’une baguette de sourcier, après une explosion atomique souterraine française au Sahara dont il étudiait les effets, que le professeur Yves Rocard père de la bombe atomique française et Directeur du laboratoire de physique de l’École normale supérieure, d’abord incrédule puis étonné, résolut d’étudier le magnétisme humain. Deux ans plus tard, il publiait la première édition de son ouvrage, Le Signal du sourcier, dans lequel, décrivant un certain nombre d’expériences auxquelles il s’était livré, il démontrait l’existence du magnétisme humain que l’un de ses précurseurs, Mesmer, appelait le magnétisme animal.


Le sens magnétique
Selon Yves Rocard, le mouvement de la baguette était provoqué par une anomalie du champ magnétique terrestre à laquelle réagissait le magnétisme même du sourcier. Il expliquait que, si les radiesthésistes détectent la présence de sources, c’est précisément parce que l’eau traîne des sels ferreux et ferriques qui se déposent et s’accumulent dans la terre qui la filtre (c’est le phénomène de l’électrofiltration). Selon lui, les radiesthésistes sont doués, comme tous les êtres vivants mais à un degré plus élevé, d’un sixième sens : le sens magnétique. Mieux encore, dans un autre ouvrage, Les Sourciers (chapitre IV, Presses universitaires de France, dont la dernière édition date de 1991), le physicien expliquait qu’ « en appliquant au corps humain des stimulations magnétiques localisées, pour tester l’apparition ou non d’un réflexe neuro-musculaire entraînant la rotation du pendule » son équipe et lui-même avaient établi que la sensibilité magnétique de l’homme « est concentrée en des zones ponctuelles, situées deux par deux au même niveau du corps, à droite et à gauche », à savoir les arcades sourcilières, l’arrière du crâne où les attaches cartilagineuses du cou maintiennent la tête, les extrémités hautes des deux muscles lombaires attachés au squelette (vers les omoplates), le creux des coudes, le creux des genoux, les talons, enfin l’articulation au pied de chacun des deux gros orteils.

Des cristaux de magnétite sous les sourcils
Or, en 1983, le biologiste britannique R. R. Baker, de Manchester, devait découvrir que l’arcade sourcilière humaine contenait des petits cristaux de magnétite et deux biologistes américains, Gould et Kirschvink, devaient mettre en évidence l’existence de ces mêmes cristaux dans le cerveau et le cou des pigeons, dans la tête des baleines, des orques, des dauphins, sur le ventre des abeilles et de la plupart des insectes. A l’examen au microscope électronique ces petits cristaux de magnétite apparaissent percés de 150 trous, où aboutissent autant de terminaisons nerveuses. « Si l’on connaît un peu le magnétisme minéral, on imagine sans peine, commentait le Pr Rocard, que ces terminaisons nerveuses subissent une sorte de magnétostriction, phénomène connu quoique peu étudié. Cette magnétostriction comprimerait un nerf qui enverrait alors un signal moteur : tel nous semble être le mécanisme du biomagnétisme ». Il ajoutait : « Des expériences nous ont montré que les mains des magnétiseurs ”reconnus”, ainsi que des personnes atteignant le même seuil de sensibilité, produisent les mêmes effets qu’un petit aimant. Nous en déduisons que l’organisme de ces personnes bénéficie d’un supplément de magnétite, qui serait aussi logée dans les articulations de leurs doigts, à la différence de la majorité de la population » (Les Sourciers p. 56-57).

Vent solaire et vent magnétique
Visiblement, les très médiatiques professeurs Kahn et Schwartzenberg n’avaient pas lu cet ouvrage et ignoraient entièrement les innombrables expériences du professeur Yves Rocard, lorsqu’ils déclarèrent, le 12 avril 1995, dans une émission de télévision intitulée : Les Guérisseurs, médecine différente ou médecine bidon ? aux magnétiseurs auxquels Anne Barrère les opposait : « Comment? Vous avez une pratique dont vous ne savez pas en quoi elle consiste et vous prétendez l’enseigner ? C’est de la charlatanerie ! Et le magnétisme, c’est du vent ! » Ils avaient cependant raison de dire que « le magnétisme est du vent ». En effet, les astrophysiciens appellent précisément les puissants orages électromagnétiques rayonnés par le soleil, au maximum de son activité, le « vent solaire » ! La question que pose le magnétisme n’est donc pas de savoir si c’est du vent puisque le vent est précisément l’ensemble des courants d’air chaud (plus léger et qui monte) et d’air froid (plus lourd et qui descend), créés par l’alternance, d’un pôle à l’autre de la Terre, des zones de forte pression atmosphérique (aux pôles et aux Tropiques) et des zones de basse pression atmosphérique (à l’Equateur et entre les pôles et les Tropiques).

Le « vent magnétique »
La question qui se pose est de savoir si, comme le soleil, les êtres vivants rayonnent un « vent magnétique », plus subtil que les vents d’est et d’ouest parce que, tandis que les vents sont constitués par des molécules de matière et que le vent solaire (ou électromagnétique) est constitué par des particules atomiques, le vent magnétique semble constitué par les corpuscules d’un tissu encore plus fin que celui des particules atomiques et des ondes électromagnétiques qui les véhiculent (un article tentant d’expliquer ce phénomène et intitulé
Le Magnétisme : la propriété d’attraction du Plein par le Vide et du Vide par le Plein est paru dans Les cahiers de la Bio-énergie n° 4.

Les quatre facultés spécifiques du magnétiseur
Quant au professeur Rocard, il avait déjà répondu depuis des années aux déclarations totalitaires de la pensée scientifique ou médicale unique, si fortement exprimée par MM. Kahn et Schwartzenberg, en déplorant « l’attitude de prétendus scientifiques qui qualifient d’ésotérique tout ce qu’ils ne peuvent expliquer avec les connaissances actuelles » et « la mainmise de la science sur la recherche et son refus d’admettre ce qui gêne ses nombreux dogmes ». Il ajoutait : « Il est sans doute surprenant que nous soyons sensibles à des variations magnétiques aussi infimes (1/5000 du champ terrestre). Cela étonne le physicien comme le biologiste, mais c’est un fait désormais bien établi ». Selon le professeur Rocard, le magnétiseur possède quatre facultés spécifiques :
1) ses mains peuvent provoquer la rotation d’un pendule tenu par un sujet, en agissant sur les arcades sourcilières de ce sujet ;
2) il est capable de momifier de la viande, des oeufs, des légumes ou des fruits après une simple imposition des mains ;
3) sa sensibilité de sourcier se situe très au-dessus de la moyenne ;
4) il peut faire tomber en arrière un sujet en tendant les mains vers lui à environ 60 cm de la base de son cou.
Cette dernière faculté tient au fait que l’équilibre de l’homme sur ses jambes est un phénomène magnétique.
En effet, de la même manière que la Terre oscille sur l’axe de ses pôles géographiques et magnétiques, l’homme, sans s’en rendre compte, oscille, en station debout, sur l’axe de sa colonne vertébrale d’un centimètre d’avant en arrière et retour et d’un centimètre également de droite à gauche et retour.


Oscillation magnétique de l’homme
Averti, en 1964, par un inventeur qui dissipait les crampes des mollets d’un patient au moyen d’aimants et par plusieurs médecins qui confirmaient ces résultats, le Pr Rocard résolut d’en avoir le coeur net en faisant une série d’expériences avec un posturo logue, leDr Jean-Baptiste Baron, de l’Hôpital Sainte-Anne, à Paris. Il s’agissait de démontrer qu’un champ magnétique provoquait des réactions neuro-musculaire et modifiait la posture de l’homme. L’expérience conduite sur douze pompiers de Paris fut concluante et rapportée dans Les Sourciers (p. 62-63). Si donc un magnétiseur réussit à faire basculer en arrière un individu en se plaçant derrière lui et en tendant les mains vers son cou, c’est bien parce que ses mains rayonnent un champ magnétique assez puissant pour lui faire perdre l’équilibre, qui est bien dû à des réactions neuro-musculaire au champ magnétique terrestre et, en l’occurrence, au champ magnétique supplémentaire rayonné par le magnétiseur. Bien sûr, si le Pr Rocard a été le seul scientifique français de renom à s’intéresser au magnétisme, il n’a pas été le seul scientifique à s’y intéresser dans le monde.

L’effet Kirlian
Dans l’ex-Union Soviétique, dès les années cinquante, de nombreuses recherches, d’innombrables expériences ont été faites et des congrès de magnétisme et de radiesthésie ont été organisés. En Allemagne fédérale le professeur Walther de Halle observa une augmentation de la tension artérielle des sourciers lorsqu’ils se trouvaient au-dessus des cours d’eau ou d’anomalies géo biologiques. Aux Etats-Unis, le Laboratoire de l’Utah Water Research Laboratory a conduit des expériences publiées dans une brochure de 55 pages, en 1971 qui ont mis en évidence le sens magnétique chez des dizaines d’étudiants. Au début des années soixante-dix, tandis que l’engouement pour les sciences occultes ou, plus exactement, les phénomènes dits paranormaux, qu’on venait de rebaptiser parapsychologie, connaît un prodigieux renouveau, encouragé par des scientifiques comme le Pr Rémy Chauvin, on croit soudain être parvenu à photographier le magnétisme humain. En effet, la nouvelle de la découverte accidentelle en 1939, par un jeune électricien russe de Krasnodar, Semyon Kirlian, de l’électrographie, plus connue sous le nom d’effet Kirlian, et des recherches qu’il a conduites, pendant plus de vingt ans, avec son épouse, Valentina, se répand dans le monde et, notamment en France, après la publication, chez Robert Laffont (1973), d’un ouvrage intitulé Fantastiques Recherches parapsychologiques en U.R.S.S., qui devient vite un best-seller.

Les magnétiseurs rayonnent davantage
Il s’agit d’une enquête conduite, en 1970, en Union Soviétique, par deux journalistes américaines, Lynn Schroder et Sheila Ostrander. Les journaux s’emparent de l’affaire et affirment que les Russes sont parvenus à photographier l’aura, ce mystérieux rayonnement émis par le corps humain que les yeux de certains médiums parviennent à voir et qui ne serait autre que le rayonnement magnétique de Mesmer et du Pr Rocard que l’iconographie ancienne symbolise par une couronne de feu autour de la tête des initiés, l’auréole ! Cette même année 1970, une psychologue américaine de l’U.C.L.A. (Université de Californie Los Angeles) se rend en Union Soviétique pour rencontrer les Kirlian. De retour en Californie, elle photographie les mains de nombreux magnétiseurs et montre que le rayonnement qui en émane est supérieur à celui des mains de sujets ordinaires.

L’année suivante, en France, un photographe, Georges Hadjo, commence des recherches électrographiques et ne va pas tarder à devenir le premier spécialiste français de ce qu’il appelle aujourd’hui éléctrographie et électrophotonique et du diagnostic médical au moyen de ce procédé. En effet, dès 1974, un médecin autrichien, Reinhold Voll a commencé d’établir une relation entre le rayonnement électrophotographié et les pathologies, qui permet de diagnostiquer les maladies. Le Roumain Dimitrescu a montré que l’électrographie met en évidence les points de l’acupuncture chinoise, qui sont les points où la peau présente une moindre résistance au passage de l’électricité. Voll confirme ce constat et montre que l’électrographie met également en évidence les méridiens de l’acupuncture et perfectionne son diagnostic bio-électronique. N’oublions pas que, dans les années soixante-dix, l’acupuncture est encore considérée comme une charlatanerie par la Faculté de médecine et qu’il n’existe encore aucune chaire d’acupuncture dans les facultés de médecine françaises.


Transfert d’énergie
L’électrographie ou l’électrophotonique utilise un appareil muni d’une électrode qui permet d’induire un courant électrique. Sur la surface de l’appareil se trouve un film placé sous une plaque de verre sur laquelle on applique l’objet le plus souvent la main que l’on veut électrophotographier. On fait passer le courant, dans la pièce obscure où se trouve l’appareil. La tension du courant doit être assez élevée (plusieurs dizaines de milliers de volts) sans toutefois dépasser le seuil critique que l’on détermine en fonction de l’isolant choisi, faute de quoi on risque l’électrocution. Quant au courant, il est assez faible, d’un micro-ampère environ. Il se produit alors un champ électrique, en général alternatif, qui interagit avec la main ou l’objet, placés sur la plaque de verre et eux-mêmes porteurs de charges électriques et c’est cette interaction du champ électrique de l’appareil et du champ magnétique de l’objet qui engendre les radiations qui impriment le film. Les expériences d’électrographie se multiplient et produisent des résultats assez stupéfiants. On s’aperçoit, par exemple, que le rayonnement que l’on observe autour des mains des sujets et même des végétaux est différent selon que ceux-ci sont en bonne ou en mauvaise santé, en état de tension ou, au contraire, de détente. Elles mettent également en évidence, en Union Soviétique et surtout aux Etats-Unis où l’engouement des scientifiques pour le phénomène est prodigieux et, bientôt, en France, qu’il se produit un transfert d’énergie entre un guérisseur qui opère par magnétisme et son patient.

Le film enregistre une mutilation
On constate également que les feuilles de végétaux intactes et les feuilles de végétaux mutilées affectent le Georges Hadjo 8 rayonnement de façon très différente. Ainsi, autour des feuilles intactes, le rayonnement est-il bleu et blanc avec un soupçon de rose ou de rouge. Tandis qu’autour d’une feuille mutilée, des plaques rouge et orange apparaissent très nettement aux endroits même de la mutilation. Qu’on s’avise de faire traiter la feuille mutilée par un magnétiseur, avant de l’électrographier, et voici que le rayonnement est beaucoup plus lumineux. On en conclut que le magnétiseur a transféré de son énergie à la feuille.

En 1975, les Américains Stanley Krippner et DanielRubin publient The Energies of Consciousness (publié, en France, chez Tchou, en 1977, sous le titre Les Energies du corps vivant), qui fait le point des recherches sur l’effet Kirlian dans le monde. Un article de cet ouvrage, signé Richard Dobrin, Carl Kirsch, Sander Kirsch, John Pierrakos, Eric Schwartz, Theodore Wolff et Yuval Zeira, rapporte les expériences conduites à l’Institute for Bioenergetic Analysis afin de mesurer le champ de l’énergie humaine. « Dans l’état actuel des recherches, concluent les auteurs, les résultats obtenus tendent fortement à montrer qu’il émane de l’être humain un champ décelable par le phototube. Il est nécessaire de mieux connaître les propriétés de ce champ. Pour le moment, on l’étudie essentiellement dans la région du thorax et de l’abdomen. L’un des objectifs futurs sera d’en déterminer la distribution dans l’espace au moyen de techniques de balayage. »


Les êtres vivants rayonnent un champ !
Ils précisent également que le rythme de pulsation de champ, rayonné par l’homme, se situe entre vingt et quarante vibrations par minute et que la quantité de lumière émise par les sujets des diverses expériences est extrêmement faible mais tout de même existante. Le nombre de photons enregistré à la photocathode est compris entre 50 et 220 par seconde. Quand on sait que le nombre de photons enregistré en un point de l’onde pour le spectre de la lumière solaire varie de 400 000 milliards (pour le rouge) à 695 000 milliards (pour le violet) de photons à la seconde, on se rend mieux compte de l’écart astronomique qui existe entre le rayonnement du soleil et le rayonnement aurique d’un être vivant ! Il n’en reste pas moins que, si faible soit-il, ce rayonnement existe : on l’a mesuré et, de surcroît, dans des régions du corps « abdomen et thorax » qui ne sont pas celles où se situent les cristaux de magnétite !

Prescience d’une mutilation

Parmi beaucoup d’autres, l’ouvrage relate une expérience assez stupéfiante conduite par la psychologue Thelma Moss et son équipe. On décide de mutiler une feuille selon un tracé précis et on la photographie avant de lui infliger la mutilation. On constate alors que des trous noirs apparaissent dans le rayonnement aux endroits mêmes où la feuille doit être ensuite mutilée. Tout se passe comme si la feuille avait connaissance de la mutilation qui va lui être infligée, ce qui implique un transfert inconscient d’information entre l’équipe des expérimentateurs et la feuille, qui n’a pourtant pas de système nerveux central ou de cerveau. Dans un autre article de cet ouvrage, Richard Allan Miller et de Karl Elmendorff, qui relatent plusieurs de leurs expériences, fournissent une explication du phénomène. Selon eux, l’image obtenue, au moment de la décharge électrique, est celle d’un champ de rayonnement provoqué par un mouvement classique d’électrons et de photons. La photo Kirlian est obtenue par l’ionisation c’est-à-dire l’émission de charges électriques de l’enveloppe gazeuse de l’objet photographié. C’est ce phénomène qui rend visible les gaz sous forme d’un rayonnement lumineux, qu’il s’agisse des gaz émis à la surface de l’objet photographié ou des gaz qui l’enveloppent.


Bien sûr, l’essentiel du rayonnement a pour origine le courant électrique. Cependant les sujets vivants émettent aussi des électrons, des photons, des ions (groupements d’atomes porteurs d’une charge électrique) et du gaz qui constituerait ce que l’on appelle l’aura. Les images obtenues sont donc produites par l’interaction du champ électromagnétique, créé par le passage de la décharge électrique, et du rayonnement du champ électromagnétique propre au sujet photographié. C’est là une évidence pour la bonne raison que, si l’électrographie ne faisait apparaître que le rayonnement du champ électromagnétique provoqué par la décharge électrique, on ne pourrait pas observer les variations d’intensité et de couleurs du rayonnement selon que le sujet est sain ou malade, tendu ou détendu. Rien n’expliquerait non plus les variations du champ liées aux objets magnétisés dont le rayonnement est plus intense ni la prescience que les végétaux font apparaître de la mutilation qui va leur être infligée. L’explication de Miller et d’Elmendorff, pour valable qu’elle soit, est insuffisante. Elle n’explique pas comment l’information constituée par le protocole de l’expérience en particulier l’intention de mutiler la feuille selon un tracé précis qui s’y trouve inscrite se propage, depuis le cerveau des expérimentateurs et le texte du protocole dans l’espace et jusqu’aux champs électromagnétiques de l’appareil et de la feuille au point que le tracé de la future mutilation apparaisse sous forme de points noirs sur le cliché

L’effet fantôme
D’autant qu’en 1978, au premier symposium sur la bioénergétique organisé à Paris, Georges Hadjo présente la technique particulièrement fine d’électrographie qu’il a mise au point et qu’il nomme électrophotonique. Cette technique lui a permis de reproduire toutes les expériences qui ont déjà été faites mais avec une précision encore inégalée et de conduire des expériences originales. Ainsi, après l’équipe de Thelma Moss, a-t-il photographié, à son tour, des feuilles de végétaux, cinq secondes après les avoir amputées. Or, chose extraordinaire, les clichés font apparaître un rayonnement qui correspond à la partie sectionnée de la feuille, qui n’a bien évidemment pas été électrophotographiée. Tout se passe comme si le champ d’énergie, rayonné par la feuille, conservait la mémoire de la forme initiale de la feuille, en dépit de l’amputation ! Comment donc expliquer ce phénomène aussi ahurissant que fabuleux ?

Richard Sünder

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