Vénus et ses habitants
Dans son livre « L’Or des Étoiles », José Frendelvel a démontré, au terme d’une minutieuse enquête sur la dynamique de notre système solaire, que celui-ci répond à une architecture mathématique tellement élaborée que Seul, Celui que certains ont appelé « le Grand Architecte » semble pouvoir en être à l’origine.
Une incroyable architecture de jeux de chiffres, de géométrie et d’inversions s’est en effet progressivement révélée à cet observateur avisé, intégrant l’ensemble de notre système solaire avec son étoile centrale, ses planètes avec leurs lunes, et ses deux ceintures d’astéroïdes. Il lui été donné de constater que tous ces corps célestes – y compris ceux qui, tel Vulcain, n’ont pas encore été officiellement répertoriés – jouent ensemble, en compagnie de notre Terre et de son satellite naturel, une véritable et grandiose symphonie mathématique en comparaison de laquelle les ouvres de nos soi-disant génies de la musique, Mozart, Haendel, Bach, Beethoven et tant d’autres, font piètre et pâle figure !
Une authentique architecture sacrée a été placée sous nos yeux par l’Intelligence Cosmique, attendant l’époque où nous aurons les moyens et la sagesse de comprendre et de décrypter son message.
Au sein de ce système étonnant, « l’étoile » du Berger, Vénus, que certains ésotéristes ont décrite comme la planète jumelle de la Terre, occupe une place toute particulière.
Voici quelques unes des étonnantes révélations de José Frendelvel à son sujet et au sujet de ses habitants.
« Si nous pouvions nous approcher de Vénus pour observer de plus près sa nature, que découvririons-nous ? Depuis quelques décennies, l’activité spatiale a permis de décrire un peu sa nature physique grâce aux sondes qui se sont aventurées dans son voisinage et ou se sont posées sur son sol. Les porte-parole de ces missions d’exploration nous ont parlé d’un environnement particulièrement inhospitalier, d’un air surchargé de gaz carbonique, d’une pression barométrique infernale, d’une chaleur torride de plusieurs centaines de degrés à sa surface ainsi que d’une atmosphère hébergeant d’épais nuages opaques et chargés d’acides sulfuriques. Bref, un astre ne permettant absolument pas de générer ni d’abriter la vie, un astre qui ne donne pas le moins du monde envie d’aller y faire une petite excursion dominicale ou d’y installer un club de vacances.
Pourtant en 1989, un dossier a été déclassifié de l’autre côté de l’Atlantique et ceci dans la plus grande discrétion, car quinze ans plus tard, ce document est encore pratiquement inconnu du public. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce dossier rapporte de nombreux contacts avec des êtres de la planète Vénus ! Il raconte comment ces êtres de Vénus sont venus et continuent à venir sur la Terre pour y rencontrer des hommes, choisissant de s’adresser parfois à d’humbles citoyens, parfois à des scientifiques et parfois à de hauts responsables de notre société. Ce rapport raconte entre autres la rencontre inopinée entre l’un de ces êtres et le président américain Eisenhower.
Nous voilà face à deux informations apparemment incompatibles. Deux approches de la planète Vénus complètement antagonistes. D’une part celle de la science terrestre avec ses sondes spatiales et le sérieux qu’on lui attribue généralement ; d’autre part celle d’un rapport quasiment inconnu qui soutient l’existence d’une civilisation sur Vénus et des contacts cachés.
Face à un tel paradoxe, la réaction habituelle est de faire confiance à la science et de bien vite oublier une version si déphasée de la réalité spatiale. Ainsi nous pouvons continuer de dormir tranquilles. Mais notre objectif n’est pas de pouvoir continuer à dormir sur nos deux oreilles. Il est de connaître la vérité !
Et si les hiérarchies scientifiques en qui nous faisons une confiance sans borne, nous avaient menti ! Le plus grand mensonge de tous les temps pour nous cacher le fait que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire ?
Une telle éventualité de vie sur Vénus entraînerait une véritable révolution des consciences.
Avoir cru depuis bien longtemps que le système solaire est un désert avec une seule oasis – la Terre – et puis soudain un rapport nous annonce que nos frères de l’espace sont là, à deux pas sur la planète voisine, qu’ils nous tendent la main et attendent discrètement en toute patience que les feux verts s’allument dans nos consciences !
Bien que ce rapport parle essentiellement d’événements s’étant déroulés dans la période postérieure à la seconde guerre mondiale, le contenu se recoupe avec l’une des prophéties d’un éminent médium, le futur pape Jean XXIII. En 1935, celui-ci révélait l’une de ses visions en ces termes : « Les signes sont de plus en plus nombreux. Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement. Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer les gens de la Terre. Des rendez-vous ont déjà eu lieu. Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus. » Jean XXIII, 1935.
La civilisation vénusienne, telle qu’elle est décrite dans ce dossier, semble avoir résolu tous les problèmes relationnels particulièrement négatifs que nous connaissons sur Terre comme les guerres, la criminalité et les agressions en tous genres. Non pas en les mettant hors la loi par une quelconque force policière, mais en développant collectivement des valeurs plus pacifiques basées sur le respect, la compréhension et l’Amour.
Par leurs contacts réitérés avec des personnalités terrestres, ils sont venus nous proposer une assistance pour nous aider à résoudre nos problèmes de plus en plus critiques de société et d’environnement. La condition qu’ils posaient à cet appui humanitaire et technologique était d’abandonner nos armes de destruction massive et de faire le choix délibéré de nous engager comme eux dans une voie pacifique. Ces conditions ont été jugées irrecevables par les grands dirigeants de notre monde et l’offre des Vénusiens est restée à l’état de proposition.
Au début des années cinquante, un dénommé George Adamski a défrayé la chronique un peu partout dans le monde. Ce résident californien d’origine polonaise racontait dans ses livres, dans ses conférences et dans ses interviews journalistiques, ses prodigieuses rencontres avec des êtres de la planète Vénus. Cf. notre page L’héritage spirituel de George Adamski Ses récits étaient étayés par la présentation d’extraordinaires photographies de vaisseaux en forme de soucoupes ou de cigares volants. Adamski racontait qu’il avait vécu plusieurs rencontres avec des Vénusiens et qu’à quelques reprises, il avait eu l’immense privilège de pouvoir les accompagner à bord de leurs engins pour un petit tour dans l’espace. C’est pour cette raison que certains journalistes ignorants l’ont ensuite ironiquement baptisé « le premier homme de l’espace ».
Adamski a décrit certains phénomènes inhérents au voisinage de la Terre, signalant notamment la présence de petites apparitions lumineuses évoquant des lucioles se déplaçant dans l’obscurité, ainsi que l’existence d’une zone de radiations autour de la planète (identifiée des années plus tard sous le nom d’ionosphère). Ces éléments inconnus à l’époque, se sont vérifiés dès que les premiers satellites artificiels ont commencé à circuler en orbite terrestre. Au-delà de l’atmosphère, les premiers astronautes ont effectivement décrit la présence de sortes de peti¬tes « lucioles » lumineuses, puis des sondes ont découvert des anneaux de radiations autour de la Terre auxquels on a donné le nom de ceintures de Van Allen. Comme pour tout ce qui touche au phénomène extraterrestre, George Adamski fut énormément critiqué, accusé de falsification et traité de fou, surtout dans son propre pays, aux États-Unis.
Note : Les premières observations de ces lucioles spatiales ont étonné les astronautes et inquiété le gouvernement américain. La NASA a tenté de « régler » le problème en annonçant que ces prétendues « lucioles » n’étaient en réalité que les particules de glace formées par la condensation des rejets d’eau émis par les capsules spatiales. Cette explication invraisemblable n’a heureusement pas convaincu tout le monde !
Le rapport, dont nous citerons ci-dessous quelques extraits, parle en ces termes de George Adamski : « En novembre 1952, les médias internationaux ont fait écho aux révélations de George Adamski, et une grande partie du public a cru qu’un contact historique avait réellement été réalisé avec une autre planète. Des photos nettes ont été publiées dans de nombreux journaux et magazines et Adamski a été traité comme un héros lors de ses voyages dans les capitales étrangères où de nombreux leaders mondiaux l’ont accueilli…. Tel n’a cependant pas été le cas dans la capitale des États-Unis ni aux Nations Unies.
Incapable d’apporter les preuves d’un canular, le Pentagone a simplement manié le discours facile en traitant Adamski de menteur sans aucun élément pour justifier cette accusation. Plus d’un spécialiste a alors certifié qu’avec un peu de chance, Adamski aurait pu rétablir lui-même la vérité auprès de la Cour Suprême. Mais ce dernier semblait plutôt amusé par le manque d’argumentation de ses détracteurs.
Par la suite, dans les années soixante-dix, l’Air Force a déclaré à la presse qu’Adamski avait photographié et filmé le couvercle d’un refroidisseur de bouteille de fabrication anglaise. Cela a fait la une de la presse internationale. Mais l’homme qui a inventé ce dit refroidisseur de bouteilles a indiqué que celui-ci n’existait pas en 1952 et n’avait été inventé qu’en 1959 ! Cependant les journaux concernés n’ont publié cette précision que dans de minuscules colonnes soigneusement isolées au milieu de leurs publicités. »
Néanmoins, malgré le terrible discrédit public que les pouvoirs publics américains ont tenté de jeter sur cet homme hors du commun, George Adamski fut enterré à Arlington, le cimetière national des grands héros américains. En dépit des attaques virulentes et injustifiées qui lui ont été infli¬gées de son vivant, son inhumation discrète à Arlington révèle la reconnaissance et le respect secret que lui témoignaient certains hauts responsables américains.
Note : Le plus illustre de ces responsables fut sans conteste John F. Kennedy. (Cf. nos pages Kennedy : message posthume. et L’héritage spirituel de George Adamski.)
Aujourd’hui encore, le simple fait d’évoquer le nom d’Adamski ou de lui attribuer ne serait ce qu’un soupçon de crédibilité, provoque généralement l’incompréhension ou la dérision, et parfois même des réactions virulentes.
L’existence de cet extraordinaire rapport longtemps classifié Top Secret par le gouvernement canadien et dont il a déjà été question, tend cependant à réduire à néant toutes les observations et supputations émises par ses détracteurs.
En voici quelques extraits.
Extraits d’un ancien dossier Top Secret du Département canadien des Affaires Interplanétaires, déclassifié en 1989 puis compilé par son directeur de l’époque, S.E. Mar
Nota : l’intégralité de ce texte figure dans l’Annexe 1 du livre de José Frendelvel : « L’Or des Étoiles »
Des scientifiques canadiens contactent Vénus
En janvier 1972, le Département des Affaires Interplanétaires fut créé dans un objectif de recherche et d’investigation scientifique des OVNI, ainsi que pour tenter de contacter, si possible, des occupants d’OVNI. Des dossiers importants sur des rapports d’observations, d’atterrissages d’OVNI et de contacts avec leurs équipages furent aussitôt accumulés. Nous nous aperçûmes que de nombreux chercheurs ufologues souhaitaient obtenir nos rapports et commençâmes à échanger avec eux des informations.
Nous fûmes surpris de voir un jour arriver à notre bureau des anciens officiels du gouvernement secret et des agences des services de renseignements militaires qui nous offraient d’échanger « les informations qu’ils détenaient » en échange de ce que nous savions. La plupart de ces informations étaient classées Top Secret et au-delà. Elles mettaient en avant l’existence d’un secret gouvernemental et militaire concernant les OVNI.
Ce qui nous étonna le plus est que les témoins cités dans ces dossiers racontaient tous les mêmes détails ahurissants. Qu’ils viennent de la NASA, qu’ils soient des scientifiques civils accrédités par le gouvernement, des pilotes militaires, des agents des services secrets, ou des Nations Unies, il n’y avait aucune contradiction dans leurs rapports à propos de bases aliens sur la Terre, sur d’autres planètes, de soucoupes volantes crashées et récupérées avec des occupants, et de contacts secrets entre Aliens et gouvernement américain.
Par ailleurs, nos informateurs déclaraient souhaiter rester anonymes à cause de menaces d’assassinat, d’amendes, de procès, ou de disparitions mystérieuses. Certains nous affirmaient que nous pourrions avoir de gros ennuis si nous informions le grand public de ce qui nous avait été révélé !
Au début des années cinquante, le gouvernement canadien avait mis en place le Magnet Project [Projet Aimant] pour l’étude des OVNI. Le directeur de ce projet, Wilburt B. Smith, a par la suite écrit qu’un offi¬ciel très haut placé du Pentagone US avait révélé que les OVNI étaient le plus grand secret qu’ils détenaient, bien plus grand que celui de la bombe H (l’arme ultime de l’époque). Il nous a été possible d’obtenir une copie de la recherche de Wilburt B. Smith sur le Project Magnet. Cette recherche était si déconcertante que Smith aurait pu vraisemblablement être assassiné s’il la publiait. Aussi est-elle restée indisponible jusqu’à sa mort.
Le Projet Magnet a pu fonctionner grâce à une équipe de scientifiques canadiens qui avaient continué à travailler sur les inventions de Nikola Tesla, l’un des plus éminents scientifiques du début du XX ème siècle. Tesla, inventeur du courant électrique alternatif/continu, co-inventeur du radar et de nombreuses technologies militaires, fut l’auteur de centaines d’autres inventions tout aussi extraordinaires, la plupart ayant été brevetées. Il avait déjà déclaré de son vivant à certains de ses associés et amis qu’il avait inventé un système de communication interplanétaire grâce à des idées qui lui avaient été transmises par des Vénusiens.
Le Projet Magnet a pris Tesla au sérieux. Ce rapport détaille un site expérimental ultrasecret construit par le gouvernement canadien et conçu pour des atterrissages d’OVNI. L’ex-ministre de la défense canadienne, Paul Hellyear, a admis plus tard publiquement que ce projet a bel et bien existé. Cependant, il n’a pas mentionné ce que Smith a rapporté. Le projet a en fait permis de détecter un ONVI réel et d’entrer en contact avec ses pilotes qui disaient venir de Vénus. Arthur Matthews, qui fut à une époque l’assistant scientifique le plus proche de Tesla, était impliqué dans ce contact.
Le Projet Magnet rapporte par ailleurs qu’alors que Matthews était en train de parachever certaines inventions inachevées de Tesla, les Vénusiens l’ont aidé à finaliser ces travaux. Le rapport mentionne également d’autres inventions transmises par les Vénusiens au Docteur Matthews. Elles ont toutes été testées et ont toutes fonctionné à la perfection.
Les Vénusiens se sentaient sérieusement concernés par la dégradation de notre environnement ainsi que par les dangers liés à l’utilisation des énergies fossiles et aux essais nucléaires.
Ils ont alerté le gouvernement américain pour tenter de le convaincre de mettre un terme à ces pratiques. Ils ont offert des systèmes d’énergie alternative non polluante et pratiquement gratuite que les conseillers du gouvernement, qui se sont enrichis grâce aux milliards de dollars provenant du pétrole, du gaz, du charbon et des indus¬tries de guerre, ont tous rejetés pour « raisons économiques ».
Un beau jour, un vaisseau interplanétaire en provenance de Vénus est descendu au-dessus du labo¬ratoire scientifique ; l’alarme de détection Tesla a retenti, puis l’atterrissage a eu lieu. Arthur Matthews est sorti pour regarder cet incroyable vaisseau spatial. Deux êtres sont sortis à l’extérieur du vaisseau et se sont dirigés vers le scientifique. Il a noté qu’ils avaient une taille d’environ 1,80 m. Il pouvait discerner leurs cheveux dorés et leurs yeux bleus lumineux dans la clarté des étoiles. Il émanait d’eux une aura de bonheur et de santé parfaite. Il pouvait ressentir une vibration irrésistible de bonté en provenance de ces Vénusiens.
Les hommes de l’espace ont alors dit à Matthews qu’ils venaient jeter un coup d’oeil sur la machine à rayons cosmiques de Tesla dont il était en train de poursuivre le développement. Après un dialogue de nature scientifique, Matthews a accepté de visiter leur vaisseau. Il était entouré d’un anneau métallique distant d’environ 6 mètres du corps central métallique et qui n’était connecté à la carlingue du vaisseau par aucun système visi¬ble, mais plutôt par magnétisme. Ce vaisseau mesurait environ 210 mètres de diamètre et 90 mètres de hauteur. Il n’y avait aucun système de contrôle visible dans la salle de commandes. Au centre se trouvait une grande plate-forme circulaire avec une zone équipée de sièges. Quatre Vénusiens y étaient assis, le dos tourné au centre et la face orientée respectivement au nord, au sud, à l’est et à l’ouest.
Ces pilotes avaient été spécialement choisis pour leur puissance de pénétration spirituelle sur la matière et ils faisaient fonctionner le vaisseau par transmission télépathique, en projetant les ondes de leur cerveau dans l’ordinateur qui régit ses commandes.
Deux de ces pilotes étaient des femmes. Il a rencontré une vénusienne d’une beauté sans âge, qui avait de longs cheveux dorés, une belle peau bronzée, un extraordinaire visage émanant une paix intérieure indescriptible et un bonheur suprême. De ses yeux bleus saphir semblait jaillir une sagesse cosmique. Grâce à elle, il a beaucoup appris à propos de la vie sur Vénus.
Notons au passage que ces informations ne proviennent ni d’un halluciné aux yeux hagards, ni d’un fanatique ou d’un membre d’une secte, ni d’un dépravé, d’un ivrogne ou d’un drogué. Ce rapport a été écrit de la main de l’un des plus grands scientifiques que le XX èmesiècle ait connus, Wilburt B. Smith, qui était le directeur du Projet Magnet, le comité d’étude scientifique des OVNI du gouvernement canadien. Cet éminent scientifique était extrêmement respecté, crédité de nombreuses inventions technologiques, avait une excellente réputation publique et possédait de prestigieux diplômes, prix et brevets d’inventions. On peut dire que Smith était le plus grand scientifique canadien de son temps, tout comme on peut dire que Tesla et Einstein furent les deux plus grands scientifiques de leur époque, au regard de l’évidence des inventions brevetées.
Notons également que les informations sur Vénus et son peuple qui ont été consignées dans ce rapport, ne contredisent en aucune façon les détails que nous avons obtenus à partir de sources totalement différentes.
Description de Vénus
Le scientifique canadien a ensuite fait une excursion sur la planète Vénus. Il s’est retrouvé debout près de grands piliers de basalte parfaitement polis. Une chute d’eau gigantesque s’écoulait d’une falaise noire d’ébène de plusieurs centaines de mètres de hauteur. Les rives étaient bordées d’une eau écumante mais limpide, alors que le lac central donnait l’impression d’une masse parfaitement lisse évoquant un dôme de verre multicolore. Ce n’était pas de l’eau telle que nous la connaissons, car des reflets de lumière de toutes les couleurs imaginables irisaient la surface de ce dôme aquatique. Elles s’y mélangeaient en paillettes vertes, roses et violettes, le transformant en un splendide arc-en-ciel. Ce décorum menait à une vaste étendue d’herbe verte émeraude, parsemée ici et là de palmiers merveilleux aux feuilles miroitantes de gouttes d’eau étincelantes comme des diamants.
Dans le ciel vénusien, au-dessus de la chute d’eau, apparaissait une énorme boule de cristal transparente. Elle ressemblait à une gigantesque bulle de savon aux couleurs d’arc-en-ciel. Autour de la partie centrale du vaisseau, il y avait une bande de métal doré et aux pôles, comme des projections d’or. Des fenêtres étaient disposées le long de cette bande dorée.
Note : Omnec Onec a décrit aussi un voyage dans ces vaisseaux-bulles dans son livre « From Venus I Came » [Je suis venue de Vénus] (Cf. notre page : Le Message d’Omnec Onec à l’humanité
La campagne qui s’étendait aux alentours avait l’apparence d’un vaste et joli parc. Une montagne coiffée de neige s’élevait au loin et une grande rivière s’étirait dans l’arrière-plan. Plus tard, Matthews est entré dans une cité vénusienne. Les bâtiments avaient des toits ellipsoïdaux en prismes de cristal ; ils reposaient sur des piliers circulaires en marbre en forme de colonnades. Un paradis de végétation luxuriante entourait les constructions. Les maisons de cristal étaient surplombées de vaisseaux transparents aux reflets multicolores. Surplombant les colonnes de basalte, des groupes de Vénusiens se tenaient gracieusement sur des falaises longeant une rivière majestueuse.
Un dôme de cristal, également en forme de prisme, servait de lieu de réunion, d’assemblée aux Vénusiens. Une vaste avenue bordée de palmiers majestueux menait au grand hall, un immense amphithéâtre entouré de gradins et de sièges de marbre. Un lac circulaire aux reflets arc-en-ciel y était comme suspendu en l’air, de sorte que l’on pouvait marcher en dessous ! Dans ce « Palais de la Vérité » – c’est le nom que les Vénusiens ont donné à ce grandiose édifice – Ils lui ont expliqué comment ils avaient transformé leur planète en un paradis bucolique où règne l’abondance, où le climat est contrôlé, et où les désastres naturels sont exclus, de sorte qu’ils y mènent une vie de paix et de prospérité.
L’intérieur des vaisseaux était divisé en différents niveaux. Le niveau inférieur contenait 24 vaisseaux éclaireurs, des véhicules de surface et des équipements. Le second niveau renfermait des jardins, des salles de séjour, des zones de loisirs, des aires d’études, ainsi qu’un hall de réunion. Le plancher était couvert d’une sorte de substance souple, comme du plastique, tandis que les murs étaient ornés de splendides tableaux. Les Vénusiens font pousser des fruits et des légumes frais à l’intérieur de leurs vaisseaux en utilisant l’énergie solaire. Les parois transparentes permettent à leurs occupants d’avoir une vue de l’espace à 360°.
L’armée et le secret de l’atterrissage d’un vaisseau vénusien à Oahu.
En 1972, il y a eu des centaines de rapports signalant des vaisseaux survolant Hawaï au-dessus de la région de Maui, des atterrissages dans les zones reculées de l’île, ainsi que quelques contacts. Nous avons mis en place un bureau du Département des Affaires Interplanétaires à Lahaina pour étudier ces rapports et tenter de contacter ces visiteurs. Notre objectif était d’avoir accès à de l’information avancée afin de résoudre les problèmes mondiaux et de définir des critères permettant à l’humanité d’évoluer dans de meilleures conditions.
Plusieurs témoins ont rapporté avoir vu des vaisseaux en forme de soucoupe avec des dômes et des hublots, similaires aux photos d’OVNI supposés être de type vénusien, qui avaient été prises par différentes personnes en Angleterre et en Amérique. Nous avons ainsi acquis la conviction que ces photos figurant dans nos dossiers n’étaient pas truquées.
D’autres témoins ont rapporté avoir vu un vaisseau en forme de cigare allongé larguant une soucoupe au-dessus du cratère Haleaka et stationnant ensuite au-dessus d’autres régions d’Hawaï, ce qui corrobore les descriptions qui nous ont été transmises par Omnec Onec.
Cette année-là, nous avons reçu certaines informations incroyables du Sergent Willard Wannall, qui a enquêté sur les OVNI dans les années cinquante, alors qu’il servait dans les services de renseignements de l’armée à Oahu. Il affirme avoir eu connaissance du secret officiel OVNI détenu par le gouvernement américain, qui concerne notamment des visiteurs de Vénus.
Nous avons rencontré cet homme deux fois et échangé avec lui des informations sur les recherches OVNI et E.T. de l’armée américaine. Il nous a mis en garde, dressé une impressionnante liste d’hommes et de femmes qui ont tous été assassinés ou réduits au silence, d’une manière ou d’une autre, par les autorités militaires, pour avoir trop parlé au sujet de l’activité OVNI secrète. Il nous a semblé passablement dépressif, suite aux harassements répétés de l’armée dont il a été victime. Wannall semblait vraiment hésiter à présenter publiquement les stupéfiants résultats des ses investigations ; il nous a prévenus de faire attention à nous.
Wannall a raconté comment, par deux fois, il avait été contacté et emmené à bord d’un vaisseau après qu’il ait atterri dans une zone boisée reculées à Oahu. À la suite de l’un de ces contacts qu’il a détaillés dans un long rapport qui figure parmi mes dossiers, Wannall a établi qu’il avait été emmené à Retz, la cité capitale de Vénus, à des fins d’enseignements. Il a rapporté qu’il avait atterri dans un Centre-Énergie situé sur la surface de la planète dans une structure qui comporte de nombreuses pièces, dont la plupart sont circulaires. Cet édifice constitue, selon lui, la partie centrale d’une métropole lumineuse et chatoyante, composée de bâtiments en forme de dôme disposés en cercles concentriques.
L’aspect translucide des bâtiments et l’agréable effet de transparence colorée qui s’en dégage proviendrait d’un procédé d’isolation de l’énergie-lumière, permettant de l’ajuster au taux vibratoire de chaque zone spécifique. Le matériau radiant qui en résulte donne l’impression que le bâtiment est en perpétuel mouvement, bien qu’il soit solide au toucher. Ces bâtiments ne peuvent être « détruits » que par impulsion d’une forme-pensée induisant une modification de la relativité du temps au sein de la fréquence vibratoire qui maintient leur cohésion, ce qui libère leur énergie qui retourne alors se fondre dans l’Océan Cosmique.
La plupart des objets sur Vénus sont amenés sur le plan de la manifestation par ce procédé. Wannall a décrit en détail les très belles peintures qui ornent les murs intérieurs. Ce sont principalement des paysages, avec des entrelacements de nuances inconnues sur la Terre et particulièrement lumineuses. Il a constaté une profusion de fleurs merveilleuses aux senteurs particulièrement agréables et dit avoir été particulièrement touché par la beauté des musiques qu’il lui a été donné d’entendre.
Les Vénusiens et Vénusiennes qui étaient là portaient des sortes de longues tuniques amples et seyantes ; ils ne semblaient pas très différents des humains de la Terre mais dégageaient par contre une impression agréable d’harmonie.
On nous a également montré des photos incroyablement nettes et détaillées d’énormes vaisseaux argentés au-delà de notre atmosphère. Farida Iskiovet, qui enquêtait alors sur les OVNI pour le président de l’Assemblée Générale des Nations unies, m’a dit que l’expérience de Wannall était vraie.
En 1973 nous avons rencontré le docteur Frank Stranges, directeur du Comité National d’Enquête sur les Objets Volants Non-Identifiés, qui était également un membre de notre Département des Affaires Interplanétaires. Il a rapporté des détails sur la manière dont il avait été contacté au Pentagone en 1959 par un diplomate vénusien, Val Thor, qui avait atterri avec un vaisseau à l’extérieur de Washington pour rencontrer le Président Eisenhower.
Ultérieurement, le Dr. Stranges a déclaré qu’il y avait eu plus tard une rencontre avec feu le sénateur Robert Kennedy. Farida Iskiovet était totalement convaincue de la réalité de Val Thor et de ces contacts.
Un Vénusien à Maui – Les Xiens
En 1972, le département des Affaires Interplanétaires a reçu un livre rare et aujourd’hui introuvable intitulé « the venusian secret Science » [la Science secrète vénusienne], qui décrivait les sciences cosmiques de Vénus, l’aspect de leur planète, leur système de culture et croyances, leur apparence et habillement, ainsi que leur mission sur notre planète. La plupart de l’information était si différente de tout ce qu’on nous avions jamais lu jusque-là, que cela nous a impressionnés et persuadés qu’il s’agissait de données ufologiques authentiques et étonnamment originales. Plus tard, nous avons comparé cette connaissance avec les informations transmises par Omnec Onec, la femme vénusienne (Cf. notre page : Le Message d’Omnec Onec à l’humanité), ainsi qu’avec le rapport canadien du Projet Magnet et les informationss du sergent Willard Wannall. Au total, nous avons relevé un grand nombre de similarités mais aucune contradiction !
La méthode de communication interplanétaire implique l’utilisation d’un cristal appelé « Telolith », une forme de télépathie pour les communications interdimensionnelles nommée télé-pensée, ainsi qu’un symbole vénusien que nous avions brodé sur nos vêtements (Nous l’avons d’ailleurs peint dans nos bureaux et sur le toit de notre voiture).
Plusieurs membres de l’agence « Xian International », qui gère le Département des Affaires Interplanétaires, ont rapporté avoir vu des objets volants qu’ils ont pensé être des vaisseaux ; certains ont même eu des contacts télépathiques.
Note d’ÈRE NOUVELLE : Le mot « Telolith » provient étymologiquement de Telos (nom de la cité intraterrestre cristalline située sous le Mont Shasta en Californie) et de Lithos qui signifie pierre en grec. D’après Aurélia-Louise Jones et Dianne Robbins, co-auteurs du best-seller « Telos » (Éd. Ariane), Telos est en effet le centre des communications télépathiques interdimensionnelles entre Terriens et Vénusiens, basées sur l’utilisation du cristal.
« The venusian secret Science » a été écrit par Michael Barton de Californie. Cet auteur a rapporté que l’information provenait d’un vaisseau vénusien avec lequel il aurait eu un contact dans les années cinquante au milieu des collines derrière Santa-Barbara. Il a décrit le pilote comme étant de grande taille et portant un uniforme d’une pièce unique :
« Son visage était celui d’un homme extraordinairement intelligent, rayonnant une force masculine et un air décidé, mais qui exprimait aussi une qualité de paix intérieure, une bienveillance et de la compassion. Le vénusien avait de longs cheveux dorés, des yeux bleus clairs qui brillaient comme des bijoux précieux et sa peau était agréablement bronzée. Il reflétait la santé parfaite. La profondeur du regard du vénusien donnait à Barton l’impression de regarder dans un océan profond et d’y voir l’univers entier.
Une belle femme vénusienne est alors sortie du vaisseau. Elle avait de longs cheveux blonds dorés, une belle peau bronzée et des yeux violets qui semblaient projeter des éclats d’or. Sa silhouette était joliment proportionnée et elle portait une ceinture dorée autour de la taille. Ses chaussures étaient d’une matière souple, tressée et dorée. »
Ce récit m’a rappelé les anciens hiéroglyphes du Temple du Soleil, à Tiahuanaco dans les Andes, décrivant comment un vaisseau doré en provenance de Vénus avait atterri là dans des temps reculés. Ces glyphes expliquent comment une belle femme vénusienne, Oréjona, sortit alors du vaisseau et enseigna aux anciens les bases de l’agriculture ainsi que le savoir-faire pour démarrer une civilisation.
Selon les écrits laissés par les Babyloniens, les Sumériens, les Égyptiens, les Phéniciens, les Chaldéens, les Mayas, les Aztèques, les Ariens, les Assyriens, tout comme les habitants de l’ancienne Inde et du Tibet, les Vénusiens sont venus sur Terre dans les temps anciens pour enseigner aux humains l’agriculture, le tissage, l’exploitation minière, l’architecture et bien d’autres activités encore. Pourquoi ne croirions-nous pas en ces anciens textes ?
Barton a rapporté que les Vénusiens qu’il a rencontrés portaient tous le même symbole sur leurs combinaisons spatiales, le symbole des communications interplanétaires que les Xiens utilisent maintenant pour essayer de contacter les êtres de l’espace.
J’ai décidé à mon tour de faire imprimer ce symbole sur un tee-shirt et d’utiliser les cristaux Telolith ainsi que la télépathie télé-pensée pour tenter d’entrer en contact avec les Vénusiens. Au début j’étais très sceptique. Cependant, très rapidement, j’ai commencé à voir des OVNI que je n’ai pas pu identifier.
Un matin de bonne heure à Lahaina, après une nuit presque blanche passée à lire « the venusian secret Science », et alors que j’étais assis seul sur un banc au bord de la mer, un mystérieux étranger s’est approché lentement et s’est assis juste à côté de moi. Il est resté assis durant plusieurs minutes sans mot dire. J’ai commencé à me sentir un peu mal à l’aise, puis je me suis tourné pour le regarder. Il avait des cheveux blonds mi-longs avec une peau dorée, des yeux bleus clairs profonds et il était exceptionnellement beau.
Je lui ai dit « bonjour » ; il a souri et m’a salué. Je lui ai demandé d’où il était et il a parlé de quelque chose à propos d’un voyage qu’il avait effectué récemment dans les Montagnes Rocheuses où il m’a expliqué avoir séjourné au « Temple Blanc de la Grande Fraternité Blanche ». Cette déclaration m’a surpris, parce que cela est supposé être le siège du Gouvernement spirituel cosmique de notre planète, qui est constitué de Maîtres cosmiques et qui agit dans les coulisses pour aider et guider notre destin en tant que race sur Terre. J’ai commencé à me demander si je n’étais pas en présence d’un grand Maître spirituel. Comme s’il avait capté mes pensées, il a souri et m’a dit que non. Il a cependant déclaré avoir été envoyé à Maui par les Maîtres du Temple Blanc, en mission pour se renseigner au sujet des Xiens et nous offrir la possibilité d’une guidance.
Les Xiens sont un groupement international de personnes qui se considèrent avant tout comme des Terriens, des citoyens de la planète Terre. Ils estiment appartenir à la Terre avant d’appartenir à un pays quel qu’il soit. Les Xiens pensent que notre humanité devrait idéalement former une seule nation en paix au lieu de ces multitudes de nations, de religions, de sys¬tèmes politiques en conflits et en combats perpétuels les uns avec les autres.
En 1972, les Xiens s’étaient installés à Maui, pensant y préparer l’avènement d’une nouvelle civilisation destinée à unir les hommes et les femmes du monde entier. Le Département des Affaires Interplanétaires était l’un des 14 départements de la Conférence Planétaire Xien et notre mission était de chercher à savoir s’il était possible de contacter des civilisations supérieures d’autres planètes, des civilisations qui auraient résolu elles-mêmes sur leurs propres planètes tous les problèmes que nous connaissons actuellement sur la Terre et qui pourraient nous offrir des conseils, des technologies ainsi que des supports d’évolution.
Dans les années 70, au moins une douzaine de membres de ce département avaient rapporté qu’ils avaient eu des contacts physiques avec des extraterrestres et reçu différents conseils de leur part. Bien que j’en sois le directeur, je n’avais jusqu’alors pas été contacté. Mais j’étais habitué à recevoir des journalistes et des personnalités qui venaient régulièrement me questionner à propos des Xiens, des OVNI et du Département des Affaires Interplanétaires.
L’étranger m’a alors demandé de lui expliquer ce que sont les Xiens. Je lui ai dit que nous étions des citoyens de la planète Terre, que nous tentions de nous accorder pour vivre ensemble une vie de paix et de fraternité mondiale en tant que citoyens planétaires. J’ai ajouté que cela m’intéressait de recruter de nouveaux Xiens et je lui ai demandé s’il était intéressé de devenir lui-même un Xien.
Il a souri à cette question et a répliqué : « Et si je venais d’une autre planète ? »
Cette réponse m’a ébranlé. Je suis resté silencieux le temps de rassembler mes pensées et de retrouver mon calme. Puis je lui ai demandé s’il était vraiment d’une autre planète et il m’a répondu que oui. Je lui ai ensuite demandé si cela ne le dérangeait pas de me dire de quelle planète il venait et il a m’a répondu : « de Vénus. »
Je l’ai regardé attentivement et j’ai remarqué qu’il avait exactement l’apparence physique des Vénusiens décrits par Michael Barton, par le Projet Magnet du gouvernement canadien, ainsi que par les témoignages des douzaines d’autres contactés que j’avais lus !
Il m’a dit qu’il était l’un des nombreux Vénusiens déguisés en humains et agissant incognito en mission sur notre planète. Il a ajouté que sa mission était de se renseigner sur notre Département des Affaires Interplanétaires. Il m’a donné son nom après que j’aie promis de ne le révéler ni de dévoiler son existence à qui que ce soit sans sa permission.
J’ai décidé de le questionner sur sa connaissance de Vénus. Je l’ai interrogé sur des questions insolites et précises dont j’avais été informé en lisant « the venusian secret Science », un livre – je le répète – extrêmement rare. Il a donné des réponses absolument parfaites à toutes mes questions. Cela m’a étonné ! Ces informations détaillées ne se trouvaient tout simplement pas dans quoique ce soit d’autre que j’aie jamais lu ou vu. Il m’a aussi expliqué de manière circonstanciée les secrets de la propulsion des vaisseaux interplanétaires et des vaisseaux éclaireurs. Son récit corroborait les détails que nous avions obtenus grâce au Projet Magnet et à d’autres sources. Il était réellement fascinant.
Il m’a indiqué qu’il utilisait le pseudonyme de Rich Evers. Je l’ai présenté aux autres dans notre département et tous ont rapidement acquis la conviction qu’il était bel et bien un Vénusien. On l’a emmené à un congrès sur les OVNI à Lahaina. Durant cette réunion, plusieurs OVNI ont survolé Lahaina.
À la suite de ce meeting, de nombreuses personnes ont témoigné devant des journalistes qu’ils avaient vu des « vaisseaux ». Mon propre père faisait partie de ces témoins.
Un diplomate de l’Assemblée générale des Nations Unies, Adam Malik, qui étudiait les OVNI pour le compte du président des Nations Unies, est arrivé à Maui et a voulu rencontrer ce Vénusien. J’ai personnellement arrangé un entretien privé dans une maison particulière de Napili où vivait auparavant Maureen Maharry (Elle était autrefois ma secrétaire pour les Affaires Interplanétaires, avant d’être assassinée à Kauai par un agent de la CIA). Les personnes présentes à cette réunion ont observé par la fenêtre un OVNI brillant qui virevoltait.
Selon Michael Barton, qui affirme avoir été contacté par des Vénusiens dans les années cinquante, la capitale vénusienne a été conçue suivant un modèle cosmique unique qui permet aussi bien aux planètes de tourner autour des soleils qu’aux molécules de s’articuler autour des atomes et aux électrons de vibrer autour des noyaux. Le noyau central est formé de trois ensembles circulaires constitués de dômes de matière cristalline. À partir de ce noyau, huit grandes voies mènent à huit grandes cités. Chacune de ces cités possède quatre voies rayonnant à leur tour vers quatre autres cités et chacune de ces dernières est elle-même le centre d’une structure géométrique de rayons concentriques menant à d’autres cités. Cette structure continue et s’étend jusqu’aux confins de la planète.
Entre les cités se trouvent de grandes forêts, des rivières et des montagnes. Les vallées abritent une végétation luxuriante et toutes les cou¬leurs y sont vives. Ici et là s’élèvent des maisons en forme de dômes faites d’un cristal translucide. Les océans vénu¬siens sont similaires à ceux de la Terre, mais plus petits, plus profonds et de plus belle couleur.
Les véhicules se déplacent sur de grands axes. Ils sont complètement silencieux et tirent leur puissance de l’énergie solaire. Les voitures solaires sont entourées d’un champ de force électromagnétique qui protège les passagers des collisions, quelle que soit la vitesse. L’atmosphère de Vénus est beaucoup plus chargée en électricité que celle de la Terre. La luminosité y est similaire à celle de nos aurores polaires et produit en permanence les couleurs de l’arc-en-ciel (il est à noter qu’un tableau représentant le village vénusien de Teutonia réalisé par Omnec Onec montre également un ciel aux couleurs d’arc-en-¬ciel).
Teutonia, ville natale d’Omnec Onec
La criminalité n’existe pas sur Vénus. Elle est inconcevable pour une race aussi évoluée. Il n’y a pas non plus d’hôpitaux puisque les Vénusiens sont tous en parfaite santé. Les gens passent la plupart de leur temps à l’extérieur et se nourrissent uniquement de fruits et de légumes frais.
Les informations que j’ai reçues personnellement en 1973 de Michael Barton sont, à cet égard, en complète harmonie avec les rapports du sergent Willard Wannall et les révélations d’Omnec Onec, ainsi qu’avec les conclusions du Projet Magnet du gouvernement canadien.
Omnec Onec a décrit du sable doré sur les plages vénusiennes, des montagnes pourpres et des jardins d’Eden paradisiaques occupant une bonne partie du paysage. D’autres ont décrit des eaux aux couleurs de l’arc-en-ciel et une mer ayant l’apparence de milliards de diamants scintillants….
Bon nombre de ces effets de paysage ont été créés par les Vénusiens eux-mêmes grâce à leur Science cosmique supérieure ainsi qu’à leur psychisme et leur mental incroyables.
Il semble qu’une bonne partie de ce qui est sur la surface de Vénus, vibre légèrement au-delà des longueurs d’ondes accessibles à la vision humaine, sur une bande de fréquences interdimensionnelle imperceptible à la majorité des habitants de la Terre. »
Adaptation : ÈRE NOUVELLE – Février 2006
Le livre de José Frendelvel ne traite évidemment pas que de Vénus. Il apporte UNE VERITABLE RÉVOLUTION DANS NOTRE CONCEPTION DU SYSTÈME SOLAIRE.
Voici les principales questions qui y sont abordées et auxquelles il apporte des réponses aussi pertinentes que novatrices :
- La Lune est-elle réellement l’astre mort que l’on nous présente habituellement ? Quelle est la vraie raison de l’abandon de l’exploration lunaire ? Se pourrait-il que la Lune soit déjà occupée ? Conscient que l’exploration spatiale officielle nous cache des choses essentielles de la vie dans le Cosmos, l’auteur nous livre ici une enquête/analyse particulièrement argumentée sur l’environnement lunaire. Le cheminement de cette recherche est entièrement novateur et les conclusions en sont stupéfiantes par leurs implications dans le destin contemporain de l’Homme.
- Par le passé, certains astronomes ont supposé et recherché l’existence de la planète Vulcain à proximité du Soleil. José Frendelvel en parle en termes concrets et tangibles. Il nous démontre que Vulcain existe vraiment, caché derrière le Soleil, et que cette planète a un lien très étroit avec la Terre. Si Vulcain n’est pas directement observable depuis la Terre, certains de ses effets sont par contre tout à fait visibles et sont couramment photographiés par les astronomes.
- La structure du système solaire, telle que nous la connaissons aujourd’hui, est-elle le résultat d’une évolution chaotique ou bien serait-elle l’ouvre subtile d’un « Grand Architecte » ? Pour répondre à cette question, l’étude présentée dans ce livre nous propose une approche tout à fait originale et inédite qui vous emmènera de surprise en surprise. « L’OR DES ETOILES » nous révèle en effet comment Soleil, planètes, satellites et astéroïdes ont écrit dans leur langage un immense rébus céleste, un message cosmique destiné à l’Humanité actuelle.