TROIS CONSTELLATIONS MAJEURES ET LE ZODIAQUE

Il existe à l'heure actuelle un rapport mutuel entre trois constellations sur lequel je voudrais m'étendre quelque peu en raison de leur puissance et du point d'intensité maximum atteint dans leur interaction en ce moment. A partir de 1975, leur puissance diminuera grandement et finira par disparaître. La période de ce jeu réciproque entre trois formes d'énergies majeures, et leur puissant effet convergeant sur notre planète, commença en 1875, acquit de l'importance dès 1925 et atteindra son apogée, (pour le bien ou pour le mal) en 1945, puis déclinera lentement pour s'éteindre vers 1975. Ces trois constellations sont : Le Lion, le Capricorne et les Poissons. Elles sont reliées d'une manière curieuse et des plus mystérieuses au quatrième règne de la nature, et par conséquent à l'évolution et au destin de la famille humaine.

Ajoutez à ces énergies, l'énergie naissante du Verseau, et vous aurez quatre énergies agissant sur les corps des hommes et produisant des effets particuliers, aussi bien destructifs que constructifs.

Deux fois déjà dans l'histoire, une relation semblable et une intensification de cette vibration se manifesta : au temps de la venue des Fils du Mental sur la Terre durant la période lémurienne, et une autre fois durant la période atlantéenne, au moment le plus aigu du conflit entre les Seigneurs à la Face Sombre et les Seigneurs du Contenu Lumineux (voir Doctrine Secrète, Vol. II ou le Vishnu Purana. A.A.B.). Au début de l'influence de ces énergies, la quatrième constellation en jeu était celle des Gémeaux, tandis que, pendant la période atlantéenne, c'était celle du Sagittaire. Leur effet se faisait alors sentir sur le plan physique, tandis qu'auparavant il s'était fait sentir sur le plan mental. C'est à ce moment que survint le grand Déluge dont parle la Bible.

Ce Déluge provoqua la destruction de l'humanité vivant à cette époque, mais permit en même temps la libération de la vie immanente pour de nouvelles expériences et d'ultérieurs développements.